Rite sacré, cérémonial immuable et art martial pratiqué dans des arènes modernes, le sumo puise ses origines dans la mythologie japonaise. Il est mentionné dès 712 dans le Kojiki (Chroniques des faits anciens), premier ouvrage en langue japonaise, qui relate la victoire du dieu Takemikazuchi contre Takeminakata, à l’issue d’une lutte scellant la domination impériale du peuple mené par le vainqueur sur les îles japonaises.

Composée de quatre expressions distillées à Komagatake et Tsunuki, la collection Sumo de Mars est illustrée de différentes kimarite, techniques qui ont pour but d’expulser l’adversaire en dehors du dohyō-iri, équivalent du ring.